Travailler à Maurice

Quelques repères

 

  • Localisation : 2,400 km de la cote Sud-Est de l’Afrique

  • Superficie : 1,865 km² - Longueur : 65 km - Largeur : 48 km

  • Agriculture : 74,000 ha (41%)

  • Forêts et pâturages : 46,000 ha (24%)

  • Réservoirs, marais & terres rocailleuses : 2,900 ha (2%)

  • Surfaces construites : 49,000 ha (26%)

  • Zone économique exclusive marine : 1,9 million km²

  • Plus haut sommet : Piton de la Rivière Noire (826 m)

  • Chutes d’eau : Chutes du Rochester (90 m) & Chutes de Tamarin (250m)

  • Climat : Sous-tropical, températures variant entre 21°C et 34°C

  • Fuseau horaire : GMT + 4 heures

  • Capitale : Port-Louis

  • Population : 1,2 millions de personnes d’origine indienne, chinoise, européenne et africaine dont population active : 606 810 personnes (source Banque Mondiale)

  • Langues principales : l’anglais (langue officielle), le français et le créole

Maurice est une démocratie stable. Des élections libres y sont régulièrement organisées et les droits de l'homme y sont respectés.

La Banque Mondiale classe Maurice parmi la quinzaine d’économies qui sont passées de la catégorie « faibles revenus » à celles de « revenus moyens ». Maurice fait donc partie d’un groupe restreint de pays qui sont sortis de la pauvreté en moins de trente ans.

Maurice : Championne africaine du monde des affaires

Souvent présentée comme étant un exemple en Afrique, l'économie mauricienne est l’une des plus compétitives. Dans son classement annuel « Doing Business 2018 », la Banque mondiale positionne toujours Maurice au 1er rang au niveau africain. Le pays se classe ainsi à une belle 25ème place mondiale sur 189 pays recensés, contre le 49e rang lors de la précédente édition.

Selon Statistics Mauritius, le taux de croissance de l’économie mauricienne devrait se rapprocher de 4 % en 2017. La progression n’aura donc été que de 0,1 point de base passant de 3,8 % en 2016 à 3,9 % (PIB réel aux prix du marché). 

Maurice est un « pays à revenu intermédiaire », en tranche supérieure. Il s’est fixé comme objectif d’accéder au statut de « pays à revenu élevé » d’ici à 2025. Maurice fait partie d’un groupe restreint de pays qui sont sortis de la pauvreté en moins de trente ans. En 2016, le PIB (Produit Intérieur Brut) de Maurice s’est élevé à 12 milliards de dollars, soit environ 9 885 dollars par habitant. 

Le taux de chômage est estimé 7,1% de la population active (621.000 estimation 2017 – soit approximativement 47 200 demandeurs d’emplois répertoriés). Le chômage touche particulièrement les femmes, les jeunes et les moins diplômés. A l’inverse, certains secteurs comme l’informatique et l’externalisation de services sont confrontés à une pénurie de main d’oeuvre qualifiée.

Une économie diversifiée, ouverte et tertiaire

Depuis son indépendance, l’économie mauricienne est passée d’une économie principalement agricole, centrée sur la production de sucre, à une économie diversifiée tournée vers le secteur tertiaire, notamment le tourisme, la finance et l’externalisation de services.

Les principaux secteurs d’activité et les opportunités

Le commerce international

Maurice est membre de l’Organisation des Nations Unis, de l’Union africaine et bénéficie d’un accord spécial avec l’Union européenne dans le cadre de la convention de Lomé (renouvelée pour 20 ans à Cotonou en 2000), signée par les pays d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique (pays ACP).

Maurice est également membre de la Commission de l’Océan Indien (COI), du COMESA (Marché commun de l’Afrique orientale et australe) et de la SADC (Communauté de développement de l’Afrique australe), ce qui lui permet de bénéficier d’accords préférentiels aux marchés de l’Afrique australe et orientale. En sus de ces accords, Maurice a signé de nombreux accords de non-double imposition afin de développer son centre financier.

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